Bandes Dessinées - Comics - Fonds d'écran et images / Djinn [4]
À quoi sert un harem ? Au plaisir d'un souverain bien sûr. Mais bien naïf celui qui le limite à cet unique but. Car il est dit : ''Satisfait un homme et tu obtiendras de lui tous les trésors de la terre''. Y compris ceux de la guerre.
Voilà pourquoi le harem du sultan Murati, surnommé le sultan noir, est pour lui une arme plus puissante que bien des armées dont disposent ces Anglais, ces Allemands qui se disputent ses faveurs et son alliance.
Fleur entre les fleurs, arme entre les armes, Jade, sa nouvelle favorite, est chargée par le maître d'Istambul de mener à bien l'assaut d'un diplomate anglais à travers son talon d'Achille. Sa femme..
Car Jade n'a peur de rien et semble cacher un coeur de pierre sous sa douce poitrine. L'homme de confiance du sultan ne l'a-t-il pas vue ordonner le meurtre de sang-froid de la petite fille de Djoua, favorite déchue de Murati ?
Que se passa-t-il réellement en cette année 1912 ? On dit que Jade, battue par ses propres armes, trahit le sultan.
Bandes Dessinées - Comics - Fonds d'écran et images / Cycle de Cyann (le) [9]
La planète Olh s'est remis de la Guerre des Confins. Alors qu'elle a perdu tout contact avec la colonie du clan Olsimar, ilO la lointaine, le Seigneur Olsimar décide de confier à sa fille, la belle et cynique Cyann, la direction de la première expédition vers ilO. Celle-ci va non seulement se révéler périlleuse, mais aussi pleine de surprises... Le cycle de Cyann constitue une saga d'un genre nouveau, où Bourgeon et Lacroix, embarqués sur le grand vaisseau de la S.F., entreprennent de créer un véritable univers (de l'organisation sociale à la faune et la flore), agité de passions amoureuses et de luttes de pouvoir.
Bandes Dessinées - Comics - Fonds d'écran et images / Complainte des Landes Perdues (la) [8]
Sioban est une princesse sans royaume. Mais elle ne rêve que de reconquête et son sang bouillonne à l'idée de se venger de ses ennemis. Baignant dans la magie et l'obscurantisme du Moyen Âge (650/1066), Sioban fait figure de femme d'exception dans cette BD ultra classique tant du point de vue du dessin, strict et minutieux, que du scénario.
Le premier cycle de la série, "Sioban", est suivi d'un autre titré "Les Chevaliers du Pardon", et d'un troisième, "Les Sorcières".